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   La liberté d’expression et de réunion 

« Un peuple prêt à sacrifier un peu de liberté pour un peu de sécurité ne mérite ni l’une ni l’autre, et finit par perdre les deux ». Benjamin Franklin

 

La plainte de J. Pasquelin, maire de Spéracèdes jusqu'en juin 2020, pour « diffamation et propagation de rumeurs infondées » en lien avec la construction de la salle-multiactivités est restée sans suite.

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Annoncée en présence d’officiels, lors de la réunion d'information du 16 novembre 2017 à l'attention de parents d'élèves inquiets, cette plainte a eu pour effet d’impressionner plusieurs participants. De surcroit cette réunion était enregistrée par la mairie. Dans quel but, tout le monde l’ignore. Mais aucun des participants qui se sont rendus en mairie dans les semaines qui ont suivi n’a pu accéder au procès-verbal, ni à l'enregistrement. 

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Pourtant de nombreux propos qui y ont été tenus étaient contraires aux faits que nous énonçons et détaillons dans ce site, contraires à la réglementation, contraires aux promesses. L’Association ASPIC a été calomniée durant cette réunion et ses membres intimidé.e.s. Au terme d’une jurisprudence constante et bien établie, la Cour européenne des droits de l’Homme rappelle que la liberté d’expression constitue la « pierre angulaire des principes de la démocratie et des droits de l’homme protégés par la Convention » mais aussi « l’une des conditions primordiales de son progrès et de l’épanouissement de chacun ». En France, l'article 431-1 du Code Pénal sanctionne lourdement les entraves à l'exercice des libertés d'expression, du travail, d'association, de réunion ou de manifestation.

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Les activités d’ASPIC n’ont rien de répréhensible ou d’illégal et rien qui puisse justifier que celles-ci se fassent dans la crainte de représailles. Ses activités participent de la vie publique. A ce titre, elle revendique son droit

          - de réutiliser des données publiques dans les conditions prévues par la loi n° 78-753 du 17 juillet 1978 et à son décret d’application du 30 décembre 2005 relatif à la liberté d’accès aux documents administratifs et à la réutilisation des informations publiques

          - de publier une tribune d’information

          - de disposer des moyens mis à disposition de toutes les associations du village par la mairie pour se réunir et pour exercer ses activités conformément à ses statuts.

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L'association «Spéracèdes Demain» nous a refusé ses colonnes pour nous présenter dans son journal, comme elle le fait pourtant pour les associations, artisans et nouveaux arrivés dans le village.

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ASPIC ne compte donc que sur chacun d’entre vous pour mettre plus de transparence dans les décisions publiques qui engagent notre cadre de vie, notre environnement, notre santé et nos impôts.

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